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La psychothérapie, pour qui ?


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La psychothérapie est un moyen accessible au plus grand nombre pour traiter leurs soucis (petits ou grands) en agissant directement sur leurs ressentis négatifs, les pensées perturbatrices et récurrentes, et les émotions douloureuses. 

La psychothérapie, pour qui ?

Patient ou client, telle est la question. Autour d'un mot il y a bien des luttes, tout l'enjeu d'un métier.

Le mot patient est dérivé du mot latin patiens, signifiant « celui qui endure » ou « celui qui souffre ». C'est ainsi que dans le domaine de la médecine, un patient est une personne physique recevant une attention médicale ou à qui est prodigué un soin.

Cela signifie également « éprouver, attendre ». Ce qui fait dire à certains que le processus thérapeutique consiste à éprouver certaines situations internes et aussi à savoir attendre pour que les changements puissent avoir lieu, le mot patient leur semble donc le plus adapté.

A l'inverse, le mot « client » se réfère à une transaction commerciale. Son usage dans le cadre de la santé est propre aux pays anglophones. Dont la mentalité toute pragmatique et économique tient pour paradigme culturel.

C'est ainsi que ce changement dans le vocable part d'une louable intention, celle de Carl Rogers, le psychologue clinicien, qui a bouleversé le rapport au patient. En effet, le précurseur de la psychothérapie humaniste pose des attitudes fondamentales dans son approche centrée sur la personne.

Entre autre, l'acceptation totale et inconditionnelle de la personne telle qu’elle apparaît à elle-même dans le présent ainsi que la préoccupation du thérapeute pour son monde perceptif et subjectif.

C'est en repositionnant le patient au cœur de sa thérapie, et en désirant ardemment lui permettre de reprendre totalement la main sur sa vie et ses choix, y compris thérapeutiques, que Carl Rogers a préféré, dans le courant des années 50 et 60, renommer le patient en client.

L'enjeu psychologique était pour lui de permettre de responsabiliser la personne qui adoptait jusqu'à là une position très infantilisée par le lourd système de santé, dont le client devait se décharger de son libre arbitre et devoir faire une confiance aveugle aux intervenants.

C'est donc en m'inscrivant dans cette approche humaniste que, en tant que psychopraticien en thérapies brèves, je préfère l'usage du terme client, afin de bien marquer la différence avec l'acte médical qui est hors de mon champ d'action. 


Pour en savoir plus, vous pouvez lire les descriptions des différentes thérapies sur notre site et choisissez ce qui pourrait être le meilleur moyen pour accompagner vos démarches vers un mieux-être significatif au jour le jour. Ou tout simplement nous appeler pour une conversation de clarification.

Je reste à votre disposition pour vous rencontrer.

Rui Gonçalves
Psychopraticien en thérapies brèves


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