« Bonjour,
Je suis Rui Gonçalves,
psychopraticien en thérapies brèves. »
Changer pour être mieux !
Dans ma pratique en cabinet, j’ai remarqué que l’enjeu du changement est toujours le même: changer est difficile et doit prendre du temps.
La réalité est que le changement se fait en un instant. Il y a avant et après.
Par contre, ce qui demande du temps c’est la préparation, d’une part, puis, d’autre part, s’habituer au changement.
Prenez par exemple un déménagement. Il y a tout le temps de préparation, trouver le nouveau lieux d’habitation, s’engager par la location ou l’achat, préparer les cartons et trouver un camion.
Puis, une fois le grand jour arrivé, c’est le chambardement, une grande journée très intense.
Enfin, pendant les jours, les semaines et les mois qui suivent, le temps de l’adaptation à la nouvelle vie.
Face à nos difficultés et problèmes, il est important de comprendre ce qui se joue. L’une de nos difficultés principales réside dans la peur. Cette émotion si importante dans nos vies.
La peur, cette ennemie qui nous veut du bien
Parmi les émotions de base, la peur est celle qui pose le plus de problème. Extrêmement désagréable à ressentir, elle traverse notre corps de part en part en une fraction de seconde. Quand elle survient, c'est toujours de manière inattendue et laisse des traces en nous de façon durable.
Ou pas! Parfois, elle est aussi recherchée. C'est une très forte sensation qui accompagne les grands moments de la vie, ou simplement certaines expériences très appréciées par certains. Comme entrer à l'école pour la première fois ou bien sauter d'un avion, par exemple. Ou prendre la parole devant un public nombreux, voire très, très nombreux.
Dans le fond, il existe en fait différents types de peurs, que l'on peut regrouper en trois catégories.
a. Les peurs physiques
La première des peurs physiques concerne les chutes et tout ce qui s'y rapporte, telles que les hauteurs (grandes ou petites). D'où l'inconfort des vertiges, puisque cela nous fait prendre le risque de tomber.
Ensuite, les grands bruits. Plus le volume sonore est élevé, plus la peur sera forte. Les grands cris participent de cette catégorie.
Il y a aussi certains éléments, tels que le feu, l'eau ou l'électricité, ou encore certains animaux (petits ou grands).
Et enfin, les grands espaces inconnus. De même que le silence, qui peut être une autre forme d'inconnu.
Dans ces conditions, la peur ressentie plus ou moins fortement a pour rôle de nous prévenir d'un danger réel ou potentiel. C'est le cerveau reptilien qui est à l'œuvre, le plus ancien et primitif. Il est déterminent car c'est grâce à lui que l'on fera la différence entre vivre et mourir.
Face à un danger, la peur est l'émotion la plus puissante qui nous protège en nous faisant réagir instinctivement. Il est donc normal de sentir la peur. Et à l'inverse, ne pas la sentir nous met en danger.
b. Les peurs de la vie
Le deuxième type de peurs provient devant les choses inéluctables de la vie, celles qui de toute façon arrivent, et parfois que l'on désir ardemment.
La peur de grandir, de prendre ses responsabilités. Et de vieillir aussi. Le temps qui passe et ne revient pas engendre toute une ramification de peurs face aux changements de la vie.
Rencontrer des gens, aussi bien au travail que dans les activités de loisir. Et en conséquence, ou non, se sentir seul.
Et puis, il y a les cycles répétitifs qui amènent leurs peurs habituelles, telles que certaines saisons et les événements qui y sont associés (Noël et nouvel an, anniversaires, vacances, etc.).
Enfin, les événements prévus mais auxquels on y pense pas, comme le départ des enfants, la retraite, les changements d'emploi.
Toutes ces peurs de la vie ont pour point commun d'être vécues face au changement. Savoir gérer ces moments-là et avancer en utilisant la peur comme une énergie de stress positif est un enjeu important.
c. Les peurs personnelles
Le troisième type de peurs sont les plus intimes, celles que l'ont entretien en son for intérieur. Les peurs personnelles concernent essentiellement le rapport à soi.
Ce sont les peurs liées à l'image de soi, comme de trop grossir ou de trop maigrir. De se voir incapable ou de mal faire. Ne pas oser prendre la parole et affirmer son point de vue.
Ce sont aussi les peurs qui découlent d'expériences choquantes ou particulièrement difficiles comme des agressions ou des accidents. Ces expériences se poursuivent à l'intérieur de nous, le film se répète indéfiniment et nous replonge encore et encore dans l'événement.
C'est également une blessure profonde qui nous marque comme la peur de l'humiliation, du rejet ou de l'abandon. Et les conséquences cachées, comme la peur d'échouer ou même de réussir car cela pourrait nous mettre en position de revivre ces blessures majeures de notre existence.
Ces peurs personnelles sont particulièrement handicapantes car elles sont vécues et revécues inlassablement dans notre mémoire et dans nos projections futures. Ces peurs ont pour caractéristiques de nous mettre toujours hors du temps présent et nous rendre comme absents à nous-mêmes.
Conclusion
La peur est donc une émotion centrale de nos existences. Son expérience se forme d'abord dans le corps en découvrant les peurs physiques. Puis cette expérience se poursuit, en nous faisant vivre dans le cœur les peurs liées à la vie. Enfin, les blessures les plus personnelles nous amènent à entretenir cette expérience dans notre tête et nous faire sortir de l'instant présent.
On peut se sentir bloqué par des peurs dont on n’arrive pas à passer outre. Il est alors important de pouvoir se faire accompagner pour y arriver.
Différentes méthodes proposent cet accompagnement, comme le coaching, l’hypnose, les thérapies neuro-linguistique, stratégique ou systémique, par exemple, qui participent de ce qu’on appelle les thérapies brèves.
Changer pour être mieux
Les thérapies brèves sont rapides et efficaces. Parfois quelques séances suffisent, parfois il en faut un peu plus.
Il est important de comprendre quelles sont les étapes du changement pour savoir où nous nous situons dans notre parcours de vie.
Développer des stratégies pertinentes et avancer vers une plus grande autonomie est pour moi essentiel dans ma pratique.
J’espère que ces explications vous aurons permit d’avoir une autre approche du changement.
Afin de pouvoir plus simplement : Changer pour être mieux!
« Je vous accompagne pour que vous puissiez expérimenter une évolution significative avec des effets concrets d'amélioration du quotidien. »
Ouvert du mardi au samedi Matin, de 9h à 12h30. Après-midi, de 14h à 20h.
Je suis joignable au 06.98.42.93.19.
A bientôt,
Rui Gonçalves